vendredi 23 janvier 2009

Une promesse est une promesse



Promets-moi, d'Harlan Coben, a plusieurs avantages. Le premier est sa disponibilité. Me baladant toujours avec un livre en poche, j'ai tendance à semer derrière moi, du fait de mon pas dynamique et sportif, les bouquins en cours. De temps en temps, retrouver un exemplaire du dit bouquin est problématique. Avec Harlan Coben, le premier relais H du coin fait l'affaire. J'ai mis 10 minutes à racheter mon livre : record battu.
Deuxième avantage : Ca se lit très bien dans le métro, même quand le monsieur à la guitare vient pousser la chansonnette pile poil devant vos pieds. On comprend tout.
Troisième avantage (je les fais dans l'ordre) : Une galerie de personnages pitoresques et relativement sympathiques.
Quatrième avantage : quelques moments inspirés. Peu, à vrai dire, mais c'est mieux que rien. J'ai appris une jolie citation en yiddish : A menst tracht und Gott lacht : l'homme prévoit, Dieu rit. La meilleure citation du bouquin. Dommage, elle n'est pas de l'auteur.

On est devant TF1, en ayant perdu la zapette, et on regarde tranquille le policier du jeudi. C'est pas du Bergman, pas de doute la-dessus. Mais enfin, on ne vit pas que de Bergman. De temps en temps, on regarde un film EuropaCorp (merci monsieur Besson).





Voilou : un petit policier sympathique, et dont je dois me dépécher de parler avant qu'il ne sombre dans les limbes insondables de ma mémoire. Une histoire de disparition de jeunes filles, d'un héros trop cool, de ses copains trop forts, de ses problèmes avec des méchants mafieux, des petits trafiquants et des profs de lycée libidineux. Et comme le héros, il est trop fort, et ben il va tout comprendre.

Je ne mets pas de note, par délicatesse envers les hordes de lecteurs de Coben.

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